Le Balancier de la vie

Il n'est pas rare de ressentir de l'inconfort dans ce quotidien que n'importe quelle information, situation peut bouleverser en une fraction de seconde. Lorsque c'est le cas, notre inconscient qui est à l'origine de ce soudain changement nous fait osciller entre des états émotionnellement instables. C’est ce que j’appelle le balancier de la vie, son mouvement peut nous conduire vers le meilleur comme vers le pire. 

Prendre conscience de ce phénomène limite la souffrance, car l'acceptation est la première phase qui libère l'esprit et permet de prendre le recul nécessaire à la gestion de la situation.

VIVRE COMME ON RESPIRE

Respirer est tellement devenu un automatisme qu’on en oublie de bien respirer, alors que la respiration est le seul mécanisme intrinsèque au corps qui permet d’agir dessus.

Quelques chiffres :

Nous respirons en moyenne 20 000 fois par jour, c’est-à-dire entre 12 et 18 fois par minute.

La quantité d’air inspiré peut aller de 4,5 L chez la femme à 6 L chez l’homme.

Au repos, un adulte inspire et expire environ 6 à 10 litres d'air par minute.

Par jour, nous  «consommons» près de 12000 litres d’air

La fréquence respiratoire est le nombre d’inspiration + d'expiration (on parle aussi de cycles respiratoires).  elle s’exprime en cycle par minute, 1 cycle respiratoire = 1 inspiration + 1 expiration

L’air inspiré est composé principalement d’azote (78%) et d’oxygène (21%)

Le corps « brûle » de l’oxygène, générant du dioxyde de carbone comme produit résiduel.

Ce qui rend nos poumons efficaces, c'est la surface d'échange qu’ils permettent entre le sang et l’air. C’est le sang qui distribue l’oxygène dans le corps

Les Mécanismes de la respiration:

La respiration a un rôle essentiel. Elle permet d’approvisionner l’organisme en oxygène (O2) et de le libérer du dioxyde de carbone (CO2). Elle associe deux fonctions : la ventilation et l’échange des gaz O2 et CO2 entre l’air et le sang..

La ventilation correspond aux mouvements d’inspiration (entrée de l’air) et d’expiration (sortie de l’air). Ces mouvements sont produits par la contraction des muscles respiratoires (diaphragme). Les mouvements respiratoires sont permanents et automatiques. Ils sont contrôlés par le système nerveux autonome qui analyse en permanence la concentration des gaz CO2 et O2 dans le sang. Par exemple, notre respiration s’accélère lors d’un effort qui augmente les besoins en O2.

L’air inspiré par le nez ou la bouche circule vers les poumons à travers les voies respiratoires : la trachée, les bronches…, jusqu’aux alvéoles pulmonaires qui permettent les échanges des gaz entre l’air et le sang : l’oxygène traverse la paroi des alvéoles pour passer dans le sang. À l’inverse, le dioxyde de carbone rejeté par les cellules, est extrait du sang au moment de l’expiration.

De plus en plus d’études cliniques montrent que les techniques de respiration sont efficaces contre l’anxiété et l’insomnie.

Ces techniques agissent à la fois sur des paramètres physiologiques, stimulant le système nerveux dit « parasympathique » et sur des facteurs psychologiques, détournant l’attention des ruminations mentales.

Simples, sans danger, validées par la science, elles gagneraient à être davantage recommandées et utilisées.

La respiration est l’énergie première du monde de la relaxation, c’est un instrument de régulation émotionnelle gratuit, inépuisable, facile d’utilisation.

Le yoga et la méditation ont inspiré beaucoup des exercices de respiration utilisés aujourd’hui.

365, c’est le surnom d’une méthode préconisée pour contrer l’accumulation du stress : au moins 3 fois par jour, respirer 6 fois par minute (5,5  s par inspiration, 5,5 s par expiration), pendant 5 minutes. Et ce 365 jours par an !

Pour une RESPIRATION efficace :

Au repos : inspirez par le nez et expirez par la bouche.

A l’effort : maintenir cet équilibre jusqu’à ce que l’intensité de l’activité impose en plus l’inspiration buccale

Une RESPIRATION par le Nez ou par la Bouche ?

la respiration physiologique s'effectue uniquement par le nez, l'inspiration par la bouche étant réservée à l'effort. Notre respiration est un acte inconscient, donc nous lui accordons rarement une pensée.

La respiration par le nez constitue la façon la plus physiologique d'apporter à votre corps élément le plus essentiel : l'oxygène. Cette respiration est plus saine que la respiration par la bouche. Par ailleurs, le nez joue le rôle de filtre et humidifie l'air inhalé.

La respiration par la bouche peut générer des troubles ventilatoires nocturnes avec un un risque plus important de problèmes de santé, tels qu'une hausse de la pression artérielle, des problèmes cardiovasculaires, une plus grande incidence de ronflement et d'apnée du sommeil, une respiration excessive chronique….

La respiration buccale chronique peut contribuer à :

• Introduction d'air non filtré et mal humidifié dans les poumons
• Respiration thoracique (inefficace et fatigante)
• Respiration excessive chronique
• Plus grande incidence de ronflement et d'apnée du sommeil
• Positionnement de la langue pendant le respiration (elle joue un rôle important dans le développement de la sphère buccale)
• Palais plus étroit, impact sur les voies nasales.
• Troubles buccodentaires - dents serrées et tordues
• Dysfonctionnements des muscles autour de la mâchoire et des lèvres
• Problèmes d'alimentation, d'élocution et de déglutition bruyants

Avantages de la respiration par le nez :

• C’est d’abord la fonction principale du nez, inspirer de l’air.
• La respiration nasale entraîne également la production d'oxyde nitrique (NO), qui aide à ouvrir les voies respiratoires et à améliorer l'absorption d'oxygène dans la circulation sanguine. C’est un facilitateur de « livraison » de l’oxygène dans le sang
• Très surprenant, inspirer par le nez est bénéfique pour la mémoire, Le passage de l’air stimule des terminaisons sensorielles, ce qui active ensuite des régions du cerveau associées à l’odorat, de même qu’à la mémoire et aux émotions.
• Respirer par le nez permet de filtrer, réchauffer et humidifier l’air inspiré avant son entrée dans les poumons, donc apporte une amélioration de la qualité de l'oxygène.
• Améliore les performances sportives.
• Diminution du stress/de l'anxiété.

Pour quelles raisons intègre-t-on des apnées dans certains cycles de respiration.

L’apnée ou hypoxie intermittente (provoquée dans les séances de respiration) ou la rétention de la respiration est considérée comme l'aspect le plus important des techniques de respiration utilisées lors de la pratique du Yoga.

La recherche montre que l'hypoxie intermittente (se priver d'oxygène pendant de courtes périodes) présente de nombreux avantages secondaires, notamment la production de cellules souches, une production accrue d'oxyde nitrique, une augmentation de l’EPO . 

Comme n’importe quel processus « industriel », on donne moins de « matière première » (oxygène) mais on attend le même résultat en sortie. Le corps s’adapte et notamment par deux phénomènes  :

une « réorganisation mitochondriale » qui permet aux cellules de produire de l’ATP (réaction chimique oxygène + glucose), donc de l’énergie.

Une production d’EPO, excellente allocation de l’oxygène pendant l’effort. En fait le « corps » produit plus de globules rouges, donc meilleur « transport de l’oxygène » (certains athlètes montent en altitude avant une grande compétition pour adapter leur corps à un manque d’oxygène, le retour à la normale booste leur capacité sportive par un afflux supplémentaire de globules rouges.

Les pratiques liées à l’Apnée doivent être encadrées par des professionnels, ne jamais pratiquer sans un encadrement compétent.

Présentation succincte des 3 niveaux de respiration

 la respiration ventrale, abdominale ou diaphragmatique. Elle est fondamentale car elle optimise l’utilisation du diaphragme. Ce muscle en forme de coupole est très puissant. Sa fonction principale est l’inspiration. Il s’abaisse à l’inspiration en permettant à l’air de pénétrer dans les poumons.

 La respiration thoracique est la  respiration automatique et inconsciente. Elle utilise la partie médiane et centrale des poumons. En outre, elle permet d’accroître rapidement et efficacement le volume d’oxygène distribué aux muscles et au cerveau lorsque l’intensité d’une activité physique l’exige. En effet, la respiration costale représente environ 70% de notre capacité respiratoire totale. Cependant, cette respiration inconsciente ne suffit pas pour apporter une respiration complète.

La respiration claviculaire est une ventilation de la partie haute des poumons grâce au soulèvement des clavicules. Elle est utilisée en complément des autres respirations, mais elle ne représente qu’un faible volume de notre capacité respiratoire. Elle se met en action pour répondre à une situation d’urgence en activant le système « sympathique ».

Quelques respirations :

la respiration 4 - 7 - 8 Inspirer sur 4 temps, retenir le souffle sur 7 temps puis expirer sur 8 temps…  Calme, moins de stress, moins de tension musculaire…

La cohérence cardiaque… Technique 365, au moins 3 fois par jour, respirer 6 fois par minute (5,5  s par inspiration, 5,5 s par expiration), pendant 5 minutes. Et ce 365 jours par an ! Augmentation de l’immunité, de la DHEA (surnommée parfois "hormone de jeunesse"), meilleure gestion du poids, baisse de l’hypertension artérielle, augmentation des ondes alpha cérébrales (concentration, apprentissage, mémoire).

La technique de la paille consiste à imaginer que l’on a une paille dans la bouche, ensuite d’inspirer par le nez et d’attendre quelques secondes avant d’expirer à travers la paille. Cette technique permet de vous détendre en revenant dans votre corps, en vous oxygénant correctement et en concentrant vos pensées sur votre respiration.

C'est dans l'INCONFORT que nait le succès

La croyance que c'est la matière qui fait nos vies est tellement imprimée chez nous que l'on en oublie de vivre.

Nous sommes des gens libres qui cherchons en permanence notre liberté car nous renonçons à cette liberté en vivant notre quotidien...

Nous nous sommes petit à petit enfermé dans un confort éphémère en refusant de vivre tout ce qui nous paraît désagréable à tel point que l'on s'interdit même de vivre les émotions déplaisantes ou douloureuses.

Or il s'agit là de notre système d'alarme, celui qui nous indique que quelque chose doit ou va changer et c'est dès lors de notre seule responsabilité, de notre pouvoir que la transformation peut intervenir.

Il est utopique de penser qu'une intervention "extérieure" va régler une situation dont l'origine lui est parfaitement inconnue.  C'est notre capacité à rester au contact de l'inconfort de façon choisit qui est une compétence extremement importante qui va nous permettre de resister à ces "promesses" sournoises et fallacieuses de sécurité, de tranquilité, de bonne santé, d'une vie meilleure, etc... "Cette croyance que c'est la matière qui fait nos vies"

Le fait d'apprendre à intégrer dans sa vie une part d'inconfort, aussi faible soit elle, est une bonne habitude pour d'abord stopper cette escalade de la médiocrité et ensuite récupérer la maîtrise de "qui avons nous envie d'être ?". Cette confrontation à la rugosité de la vie, aux échardes de notre existence, se gère non pas dans la dureté mais dans le relâchement, dans la présence à soi, dans la conscientisation des évènements.

Il n'est pas aberrant aujourd'hui dans une société qui prône le confort (c'est d'ailleurs la raison pour laquelle on évoque régulièrement le fameux "sortir de sa zone de confort") de garder une connexion vivante avec cette partie de nous qui a "l'impertinence" de nous rappeler qui nous sommes en réalité. Quelque soit la manière employée, il est primordial de sortir de cette logique instinctive obsessionnelle d'une vie dont nous voulons toujours plus et notamment le sacrosaint bien-être pour s'octroyer cette liberté de tout simplement Être nous.

Venez rompre les amarres pour naviguer vers votre réussite...

Rompre les amarres c'est aussi "Lâcher-prise"

 

Il ne faut pas lâcher-prise pour chercher à fuir une situation. (Si je me rends compte que j’ai lâché-prise, c’est que je suis encore "branché" dessus).

 - Il faut équilibrer ses perceptions, se détacher du résultat, être satisfait des objectifs intermédiaires. 

 - Ne pas se focaliser sur des attentes au détriment du processus qui est le cœur de la vie....

- Faire un deuil par anticipation, métaphore du joueur de tennis (savoir que perdre est une option du jeu, non pas un échec). Attention à « acceptation » qui ne veut pas dire "se résoudre" mais accueillir ce qui est vécu pour s'en libérer…

 

Pour quelles raisons Lâcher-prise ?

Parce que lorsque l’on « lâche prise » on arrête de s’attacher à des choses qui bien souvent ne dépendent pas de nous et lorsque l’on s’arrête de s’accrocher, on récupère notre bien-être, notre liberté.

 

Qu’est-ce qui nous empêche de lâcher-prise ?

Notre volonté de tout contrôler y compris la vie, c’est une composante de notre éducation, notre volonté de tout vouloir prévoir, tout maîtriser nous interdit cette liberté, nos croyances sont le deuxième « frein » au lâcher-prise, car nous faisons un amalgame entre « lâcher-prise » et se résigner, perdre le contrôle, perdre la partie, être d’accord… on a souvent l’impression que si on « lâche prise », la situation ne changera pas. Or le « lâcher-prise, c’est tout le contraire…, c’est d’abord arrêter de résister, car l’acharnement amplifie le phénomène, en fait, " Plus la roue du hamster tourne vite, plus les choses s’accélèrent devant nous"

 

Comment lâcher-prise

Le premier pas, c’est l’acceptation, et accepter ne veut pas dire « être d’accord avec ou se résigner » l’acceptation est le premier chemin qui ouvre la voie au changement, , qui apporte le calme, on arrête ainsi de résister au déroulement de la vie.

La première chose à faire, c’est de reconnaitre ce que l’on vit, faire le point sur la situation difficile, la regarder vraiment en toute conscience et on s'aperçois alors que tout n'a pas été évalué, considéré… car le problème que l'on identifie est en fait la solution qui se présente...."

La deuxième phase consiste à analyser la situation en ce qui concerne mon champ d’actions, ce sur quoi je peux agir, ce qui dépend de moi et ce qui dépend de quelqu’un d’autre ou d’un autre élément… Cela permet d’identifier les actions que je vais pouvoir entreprendre et donc « lâcher » ce sur quoi je ne peux pas agir….

La troisième étape consiste à regarder la situation sous un autre angle 

Lorsque l'on voit le "problème" d'un autre point de vue, on se crée des opportunités, des solutions. C'est ce que l'on appelle se "dissocier" en Hypnose, c'est cette faculté de s'imaginer en train de se regarder vivre la situation. On peut ainsi prendre conscience de son empreinte sur nous, car nous sommes doués pour nous attacher et nourrir des situations qui sont superficielles, insignifiantes et qui n’ont pas de légitimité à moyen et long terme.

La quatrième étape, c’est sortir du questionnement, "pourquoi" comme dans une situation difficile, la question « pourquoi » n’apporte pas de réponse, elle n'apporte que des justifications sur notre état d'être pour ce problème, elle insiste sur les « douleurs » puisqu’elle les replace inexorablement sur vous. La bonne question est : « comment », c’est à dire qu’est-ce que je peux mettre en place pour sortir de cette situation ou qu’est-ce que je n’ai pas encore fait pour m’aider à lâcher-prise dans cette situation. 

Le cinquième point, c'est recommencer, car dans la société actuelle ou tout doit nous parvenir immédiatement, si les quatre premières étapes ne vous ont pas apportées une vision différente de la situation, reprenez l'étape 1, vous allez découvrir de nouvelles perceptions, changer de sentiment, d'état d'esprit jusqu'à qu'une solution satisfaisante et durable vous "éclaire". A ce stade, il se peut qu’il soit nécessaire de « rejouer » plusieurs fois tous ces points pour parvenir à réellement lâcher-prise.

Rompre les amarres, c'est engager due mécanisme qui conduit vers votre réussite

Retrouvez les clés de LA LIBERTE

 Pour en savoir plus, c'est ici, car plus que quelques semaines avant le premier départ 2021, du Séjour/séminaire sur le Chemin de Compostelle.

Avril, Mai et Juin, les mois du printemps, les fleurs et les feuilles apparaissent, la nature se réveille. Les températures augmentent et il fait doux.  Les journées deviennent plus longues et le soleil brille de plus en plus. Certainement les meilleurs mois pour parcourir le chemin au départ du Puy en Velay...

LE QUESTIONNEMENT ou l'Art de poser des questions

 LA QUESTIOLOGIE

Habituellement lorsque l'on pose des questions, nous voulons obtenir des informations qui confirment notre vision du monde, qui confirme notre perception de la situation.

Bien souvent, parce que l'on veut comprendre les actes de quelqu'un on lui pose la question : Mais POURQUOI tu fais ça ?…. En fait on lui demande de se justifier car comprendre cela veut dire "saisir avec intelligence pour ramener à nous dans un tout cohérent", nous voulons comprendre dans NOTRE carte du monde… et c'est parce que nous volons comprendre dans notre carte du monde que nous limitons notre questionnement.

C'est Socrate le premier qui a mis en évidence la Questiologie. Si un de ses disciples se plaignait d'injustice " c'est injuste", Socrate ne lui demandais pas "pourquoi trouves-tu ça injuste ?" mais plutôt "Quelles hypothèses fais-tu pour conclure à une injustice ?"

Vous comprenez bien dans ce cas précis, c'est le disciple qui regarde comment il fonctionne plutôt que de se justifier. En "offrant" cette question, Socrate permet à son disciple de penser sur sa façon de penser, ça c'est la définition de réfléchir. Et en plus il permet à son disciple de découvrir "sa carte du monde" c’est-à-dire faire "émerger et faire sortir" et ça c'est la définition de "éduquer"

Aujourd'hui malheureusement les questions sont utilisées pour évaluer c’est-à-dire restituer ce qui a été enseigné… Dans ce cas-là on pose une seule question pour une seule réponse que l'on connait par avance, d'ailleurs.

C'est Einstein qui va ensuite faire évoluer la Questiologie en disant : Si j'ai une heure pour résoudre un problème dont ma vie dépend, je vais passer le 55 premières minutes à élaborer la meilleure question à se poser et quand j'ai trouvé la question, il me suffira de 5 minutes seulement pour trouver la bonne réponse. En fait, c'est la mise en question plutôt que la réponse qui fait avancer les choses.

Ce sont les questions qui bouleversent notre façon de penser, qui nous amènent vers d'autres points de vue, qui remettent en cause nos croyances, c'est ce que l'on appelle "La prise de conscience"…

Alors lors de vos prochaines séances de coaching ou d'hypnose (puisque j'utilise des questions de coaching avant la séance) ne soyez pas surpris d'être "questionné" sur vos ressentis, sur votre posture vis-à-vis de la situation… Même si vous avez l'impression d'être dérouter par la question, vous êtes simplement en train de vous ouvrir à de nouvelles opportunités, à de nouveaux points de vue…

A très bientôt

COMPOSTELLE EN CONSCIENCE - 2021

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